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Les femmes prennent la parole

A l’occasion de la nouvelle édition du festival des films documentaires DOXA, trois réalisatrices s’emparent du devant de la scène et mettent en lumière des portraits de protagonistes liés par la même volonté de se faire entendre et de trouver leur place dans le monde d’aujourd’hui.

A l’ère où la parole des femmes se libère, le DOXA festival présente Because We Are Girls, de Baljit Sangra, Illusions of Control, de Shannon Walsh et Premières solitudes de Claire Simon.

Sortir du silence

Malgré les sujets très différents de ces trois documentaires, les trois réalisatrices se rejoignent sur l’importance d’éduquer et de sensibiliser les générations futures sur la réalité du monde actuel.

Baljit Sangra vient de la communauté Pendjabi canadienne. Lorsque son amie lui apprend qu’elle et ses sœurs ont été victimes d’agressions sexuelles par un membre de leur famille et qu’elles ont décidé de mettre en lumière ce traumatisme, la réalisatrice décide de suivre les sœurs dans leur combat.

« Jeeti et ses sœurs ont fait cette démarche pour elles-mêmes, mais également pour montrer à leurs filles et aux générations futures et présentes qu’il est possible de s’imposer et de dire la vérité, » dit-elle.

Par le biais de Because We Are Girls, Jeeti évoque le fait de faire cette démarche pour elle, mais également pour montrer l’exemple à ses filles.

Malgré le caractère très personnel du sujet, de nombreuses femmes, mais aussi des hommes, peuvent se retrouver dans l’histoire de Jeeti et ses sœurs, comme l’explique la réalisatrice : « Plus vous restez personnel, plus ça devient universel et de nombreuses personnes, en dehors de la communauté, peuvent se retrouver dans cette histoire ».

Des femmes combattantes

#thelasource




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